Inauguration de l’exposition Des plantes pas si bretonnes. Suite au travail de recherche effectué par un groupe de chercheurs pour Exorigins, un programme scientifique initié par la ville de Paris, Emilie Stoll, directrice du projet et chercheuse au CNRS, se propose de nous raconter l’histoire des plantes que nous croisons tous les jours. D’où viennent nos pommes à cidre ? L’Agapanthe est-elle bretonne ? Le géranium ne s’est-il pas trompé de nom ? Avec des textes, des photos, des gravures et des dessins, vous parcourez le monde sur les traces de nos végétaux qui, même sans jambes, sont d’infatigables voyageurs.
L’inauguration de cette exposition sera présidée par une personnalité politique locale avec la présence de Serge Collet, maire de Médréac, Michaël Chevalier, maire de Plumaugat et d’Emilie Stoll, chercheuse au CNRS, autrice de l’exposition proposée. Un verre de l’amitié sera servi aux participants à l’issue des échanges de paroles.
Mélangeant violon, piano, accordéon et guitare, ce jeune groupe breton propose une prestation originale qui redessine les classiques de la musiques irlandaise.
En ce soir de pleine lune, Caroline nous invite à partager sa lecture de paysages sur le site renommé de Lampouy. Entre roches, champs cultivés et jachères, une grandes variété de plantes a colonisé cet environnement tout à la fois magique et envoûtant. Ont-elles toujours été là? Pourquoi celles-ci au détriment d’autres? Comment la biodiversité a-t-elle évoluée au fil du temps au creux de ces pierres millénaires ? Caroline lève un voile sur les secrets d’un coin de nature du village.
Pour les férus de botanique, c’est un peu une star. Auteur de l’Art des jardins en Europe, une histoire des jardins botaniques, une histoire des serres, une histoire des jardins potagers… Il a écrit beaucoup de livres même s’il se sent davantage ingénieur horticole qu’écrivain. Pendant dix ans, il a été directeur du jardins des plantes de la ville de Paris et de l’Arboretum national de Chèvreloup. Spécialiste des plantes et de leur histoire, il nous propose de nous raconter, sous forme d’une conférence de 40 minutes, les grands mouvements migratoires des végétaux.
La conférence sera suivie d’un débat où viendront s’exprimer des invités surprises originaires de la région pour confronter leurs points de vue à ceux d’Yves-Marie Allain.
Pour cette soirée, l’entreprise de restauration Saveur Créole nous propose un voyage culinaire dans les caraïbes avec un menu aux petits accras pour un repas léger mais festif à un prix très raisonnable.
Venue d’Argentine, Jaz da Silva Torres, accompagnée de Jorge Rodriguez, espagnol d’origine, proposent un mini-concert de musique latine dans la tradition de celle de Lhasa de Sela. Inspiré par les grands courants de la musique folk entremêlés avec des influences gitanes, le duo Mielcanela nous propose, pour clôturer cette soirée-débat, quatre ballades musicales au son de la guitare classique qui parlent d’amour, de luttes sociales et de drames humains. Encore peu connu en Bretagne, le nouveau duo breton renoue avec la scène après des années d’absence. A Secrets de Nature, nous sommes fiers de les aider à reprendre le chemin de la création artistique tout en partageant avec nous un moment musical magique.
Tout au long de la journée du samedi, des animations diverses et variées sont proposées par les bénévoles des communes environnantes. Comment fabriquer du compost de qualité ? Quels sont les secrets de la vie végétale souterraine ? Comment mieux appréhender la biodiversité qui nous entoure ? Il sera même possible de découvrir une moissonneuse batteuse d’autrefois et d’en comparer les avantages et les inconvénients avec celles d’aujourd’hui. Une journée ludique, joyeuse et très nature pour petits et grands.
Les légumes de nos jardins, soigneusement cultivés d’une saison sur l’autre, ont tous des ancêtres sauvages. Peut-être 20000 ans en arrière, l’homme a soustrait de la nature les plantes qu’il estimait utiles à sa survie. Puis, il les a cultivées, à sa manière. D’une zone géographique à l’autre, les légumes ont poussé au hasard de techniques développées d’ici de là. Aujourd’hui, ces techniques se sont globalisées. A chacun son truc, bien souvent emprunté à des ailleurs parfois lointains, tous mixés les uns avec les autres. Dans cette émission, les amateurs de potager, les enfants des écoles, les botanistes émérites et Yves-Marie Allain échangeront sur l’histoire des techniques potagères et sur les manières de faire forcément différentes d’un potager à l’autre.
Ce film raconte comment un caméraman de films documentaires américains décide, avec sa famille, de tout quitter pour créer une gigantesque exploitation maraîchère en Californie.
Avec humour et talent, il décrit les succès et bien entendu les échecs d’une telle entreprise.
Lui et sa femme ont décidé de filmer leur progression, leur succès et échec, durant huit ans de leur vie sur un terrain de près de 80 hectares, près de Los Angeles, sur lequel ils tentent d’implanter la ferme durable de leurs rêves.
A Saint M’Hervron, Renan Volcler et sa famille ont tenté la même chose. Lui ingénieur, elle
communicante, ils ont créé un espace maraîcher sur 6 hectares. Dix ans après leur installation, la ferme fonctionne toujours et continue à se développer. Que pense-t-il de cette expérience californienne ? Est-elle applicable en France ? A-t-il le sentiment d’avoir suivi le même parcours que John Chester et sa famille ? Renan réagit à la projection du film.
Le débat se poursuit avec le témoignage de Xavier Dartois, agriculteur conventionnel à Médréac. Exploitant agricole d’une grande surface, Xavier pratique pourtant une agriculture raisonnée, sans labour. Il cherche à préserver au maximum la qualité des sols afin de pratiquer une agriculture durable tout en étant productif. Avec lui, nous essayerons de comprendre si produire autrement est aujourd’hui possible.
Yves-Marie Allain, botaniste et écrivain, nous racontera ensuite comment les potagers, à travers l’Histoire, ont évolué pour s’adapter au mieux aux exigences de leur époque.
Et enfin, Yannick Denoual, agriculteur de la commune, nous expliquera comment cultiver de manière pérenne.
La Jambalaya, véritable symbole de la cuisine cajun et créole, est une ode à la diversité et à la richesse culinaire de la Louisiane. Ce plat, emblématique du melting-pot culturel de la région, est une savoureuse symphonie d’ingrédients qui se marient à merveille pour offrir une expérience gustative unique et inoubliable. Au cœur de la Jambalaya réside une base de riz long grain, qui absorbe et se mêle harmonieusement aux saveurs des autres composants. Le riz est cuit lentement avec un mélange coloré de tomates concassées, créant une toile de fond riche et épicée pour les autres ingrédients. Des poivrons verts, des oignons, et du céleri (souvent référés comme la « Sainte Trinité » de la cuisine cajun) sont sautés jusqu’à ce qu’ils atteignent une tendreté parfaite, libérant leurs arômes distinctifs qui sont la signature de nombreux plats louisianais.
Ce plat sera servi avec un dessert et une boisson pour 22 euros par personne.
Ils sont bretons mais font de la musique aux influences américaines. Le groupe Warwari navigue avec brio entre les rivages de la Louisiane cajun et les côtes de la Bretagne, tissant un lien inattendu mais étonnamment harmonieux entre ces deux univers folkloriques. En utilisant des instruments emblématiques des deux cultures — tels que l’accordéon diatonique et le fiddle pour la touche cajun, complétés par la cornemuse bretonne et le bodhrán — le groupe parvient à échafauder un pont sonore où les mélodies et les rythmes se rencontrent et dialoguent en harmonie. Leur répertoire, riche et varié, inclut à la fois des reprises inventives de classiques folkloriques et des compositions originales inspirées par les paysages sonores de leurs deux régions d’inspiration. Les arrangements musicaux de Warwari, tout en respectant l’essence des genres qu’ils explorent, introduisent des harmonies innovantes et des rythmes captivants qui invitent à la danse et à la réflexion.
Sur une dizaine de grands panneaux, Emilie Stoll nous propose de voyager en compagnie des plantes de Bretagne. En effet, à l’image des hommes, les plantes vont et viennent colonisant les espaces qui leur conviennent. Pommes, sarrasin, agapanthes, hortensias… contribuent à façonner l’identité bretonne même si elles sont venus de loin. Comment sont-elles arrivées là ? Quels chemins ont-elles suivi ? Quelles aventures ont-elles vécues ? Pourquoi elles et pas d’autres ? Une exposition qui nous dévoile les petits et grands mystères d’une longue migration
Le photographe Jackie Gaborit nous invite à voyager petit et à nous émerveiller de ce qui nous entoure. Pendant des mois, il a photographié les animaux qui ont trouvé refuge dans son petit jardin de la banlieue rennaise. Il a sélectionné pour cette exposition une quarantaine de photos qui documentent l’étonnante biodiversité qui s’épanouit, même dans des espaces réduits.
Dans le cadre d’un recensement des espèces végétales de Bretagne, un groupe de photographes a posé son regard sur la manière dont nos arbres sculptent l’espace. Dans cette exposition d’une trentaine de photographies, les chênes, châtaigniers et autres peupliers dessinent d’étranges compositions sur l’horizon s’amusant des couleurs et des lumières. Bien plantés dans le sol breton, installés ici depuis des années, voire des siècles, ils nous invitent à nous perdre dans le dédale de leurs ramages, sur le chemin tortueux de leurs branchages pour un voyage les pieds sur terre et le nez dans les nuages.
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